Les syndicats de la SNCF ont finalement décidé mardi de donner une chance à la concertation sur la réforme de l‘entreprise ferroviaire publique. Ils se sont donné rendez-vous le 15 mars, pour arrêter une éventuelle date de grève, une fois qu‘ils auront pris connaissance du projet de loi d‘habilitation des ordonnances, qui devrait être présenté la veille. Cette décision «n‘est pas un signe de faiblesse des syndicats», se défend Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, interrogé mercredi matin sur France 2.