Dans un rapport publié ce jeudi, MSF offre une chronologie des faits démontrant qu‘«il n’y avait aucune raison d’attaquer l’hôpital : aucun combattant armé ne s’y trouvait, aucun combat ne s’y déroulait». L’ONG y décrit les patients «brûlant sur leurs lits», le personnel médical «décapité ou amputé de ses membres». Des opérations médicales étaient en cours pendant l’attaque.